Accouche-toi de ton poème
des mots primaires
enfante une forêt
et dans ta plénitude de racine-mère
pousse l’écorce
la détresse du post-partum
en oubliant ton nom
– seul compte l’arbre vivant de la création.
Accouche-toi de ton poème
des mots primaires
enfante une forêt
et dans ta plénitude de racine-mère
pousse l’écorce
la détresse du post-partum
en oubliant ton nom
– seul compte l’arbre vivant de la création.